La fiscalité à la revente d’argent en France (plus-value, PFL, etc.).

La fiscalité à la revente d’argent en France peut sembler complexe, mais comprendre les bases peut vous aider à naviguer dans ce domaine. Que vous vendiez des lingots d’or ou des pièces de monnaie, il est essentiel de connaître les différentes taxes qui peuvent s’appliquer, comme la plus-value ou la taxe sur les métaux précieux. Cet article vise à clarifier ces aspects afin que vous puissiez mieux gérer vos transactions et obligations fiscales.

Sommaire

Points Clés

  • La plus-value est imposée lors de la revente d’argent, et le taux peut varier selon le type de bien.
  • Il existe deux principales taxes : la taxe sur la plus-value (TPV) et la taxe sur les métaux précieux (TMP).
  • Des abattements sont disponibles pour réduire la base imposable selon la durée de détention.
  • Le prélèvement forfaitaire unique (PFU) s’applique aux gains, avec un taux global de 30%.
  • Les ventes à l’étranger peuvent avoir des implications fiscales distinctes, selon les accords internationaux.

Comprendre la fiscalité à la revente d’argent en France

La revente d’argent, qu’il s’agisse de pièces, de lingots ou d’autres formes, est soumise à une fiscalité spécifique en France. Il est important de bien comprendre les règles en vigueur pour éviter les mauvaises surprises et optimiser vos transactions. En gros, quand on revend de l’argent, l’État prend sa part, mais il y a plusieurs façons de calculer cette part, et certaines situations permettent d’être exonéré d’impôts. C’est un peu comme un jeu de piste fiscal, et il vaut mieux avoir la carte pour s’y retrouver.

Définition de la plus-value

La plus-value, c’est simplement le gain réalisé lors de la vente d’un bien, par rapport à son prix d’achat. En matière d’argent, elle correspond à la différence entre le prix de vente et le prix d’acquisition. Si vous avez acheté un lingot d’argent 1000€ et que vous le revendez 1200€, votre plus-value est de 200€. C’est sur cette plus-value que l’impôt est calculé, sauf si vous optez pour la taxe sur les métaux précieux (TMP), dont on parlera plus tard. Il est important de conserver les justificatifs d’achat pour prouver le prix d’acquisition, car sans facture, c’est la TMP qui s’applique par défaut.

Les différents types de taxation

Il existe principalement deux types de taxation lors de la revente d’argent en France :

  • La taxe sur la plus-value (TPV) : Elle s’applique sur la plus-value réalisée, avec un système d’abattement en fonction de la durée de détention. Plus vous gardez votre argent longtemps, moins vous payez d’impôts. C’est l’option par défaut si vous avez une facture d’achat.
  • La taxe sur les métaux précieux (TMP) : C’est une taxe forfaitaire qui s’applique sur le prix de vente total, sans tenir compte de la plus-value réelle. Elle est souvent utilisée quand on ne peut pas justifier le prix d’achat.
  • Le prélèvement forfaitaire unique (PFU), aussi appelé flat tax, est une autre option à considérer, surtout si vous avez d’autres revenus financiers.

Les obligations fiscales lors de la revente

Lorsque vous revendez de l’argent, vous avez certaines obligations fiscales à respecter. La première, c’est de déclarer vos gains aux impôts. La manière de déclarer dépend du type de taxation que vous choisissez. Si vous optez pour la TPV, vous devez remplir un formulaire spécifique et joindre les justificatifs nécessaires. Si vous êtes soumis à la TMP, c’est généralement le vendeur qui se charge de collecter la taxe et de la reverser à l’État. Dans tous les cas, il est important de conserver une trace de vos transactions et de vous renseigner auprès des impôts ou d’un conseiller fiscal en cas de doute.

Il est crucial de bien se renseigner sur les différentes options fiscales avant de revendre de l’argent. Le choix entre la TPV et la TMP peut avoir un impact significatif sur le montant de l’impôt à payer. N’hésitez pas à simuler les deux scénarios pour voir quelle option est la plus avantageuse dans votre situation.

La taxe sur la plus-value (TPV)

Ok, parlons de la taxe sur la plus-value, ou TPV. C’est un sujet qui revient souvent quand on parle de revendre de l’argent, et il faut bien comprendre comment ça marche pour éviter les mauvaises surprises. En gros, la TPV s’applique quand vous réalisez un gain (une plus-value, donc) lors de la vente de vos biens. C’est pas toujours simple de s’y retrouver, mais on va essayer de décortiquer ça ensemble.

Taux de la TPV

Le taux de la TPV, c’est un peu le nerf de la guerre. Actuellement, il est de 36,2% (19% d’impôt sur le revenu + 17,2% de prélèvements sociaux). Ce taux s’applique sur la plus-value brute, c’est-à-dire la différence entre le prix de vente et le prix d’achat. C’est important de bien calculer cette plus-value, car c’est sur cette base que l’impôt sera calculé.

Abattements applicables

Heureusement, il existe des abattements pour diminuer la base imposable. Ces abattements dépendent de la durée de détention de votre bien. Plus vous gardez votre argent longtemps, plus l’abattement est important. C’est un peu comme une récompense pour la patience ! Voici comment ça se présente :

  • Après 2 ans de détention : 50 % d’abattement
  • Après 8 ans de détention : 65 % d’abattement
  • Au-delà de 22 ans de détention : Exonération totale

Ces abattements peuvent réduire considérablement l’impôt à payer, surtout si vous avez conservé vos biens pendant plusieurs années. C’est un point important à prendre en compte dans votre stratégie d’investissement. Si vous optez pour l’imposition à l’IR, grâce à l’abattement de 65% votre taux d’imposition diminue.

Conditions d’exonération

Il existe certains cas où vous pouvez être exonéré de la TPV. Le cas le plus courant, c’est l’exonération après 22 ans de détention, comme on l’a vu. Mais il existe aussi d’autres situations, par exemple si la vente est inférieure à 5 000 euros. Dans ce cas, vous n’avez pas à payer la TPV.

Il est important de noter que ces règles peuvent changer, il est donc toujours bon de vérifier les informations auprès de l’administration fiscale avant de prendre une décision. Les lois fiscales, c’est un peu comme la météo, ça peut changer vite !

En résumé, la TPV est un impôt à prendre en compte lors de la revente d’argent. Mais avec les abattements et les exonérations, il est possible de réduire son impact. Il faut juste bien se renseigner et faire ses calculs avant de se lancer.

La taxe sur les métaux précieux (TMP)

Alors, la Taxe sur les Métaux Précieux, ou TMP, c’est un peu l’option par défaut quand on revend de l’or, surtout si on n’a pas forcément gardé la facture d’achat. C’est une taxe assez simple à comprendre, mais il faut bien en connaître les détails pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Taux de la TMP

Le taux de la TMP est de 11,5% du prix de vente. Ce taux inclut 11% de taxe sur les métaux précieux proprement dite, et 0,5% de CRDS (Contribution au Remboursement de la Dette Sociale). C’est un prélèvement forfaitaire, ce qui veut dire qu’il ne tient pas compte de la plus-value réelle que vous avez réalisée. C’est un peu comme si l’État disait : "On prend une part fixe, peu importe si vous avez fait un super profit ou pas."

Différences entre TMP et TPV

La grande différence entre la TMP et la taxe sur la plus value (TPV) réside dans la méthode de calcul et les conditions d’application. La TMP est un pourcentage fixe appliqué directement sur le prix de vente, tandis que la TPV se base sur la plus-value réalisée, c’est-à-dire la différence entre le prix d’achat et le prix de vente.

En gros :

  • TMP : Simple, rapide, pas besoin de justificatif d’achat (mais taux potentiellement plus élevé si votre plus-value est faible).
  • TPV : Plus complexe, nécessite de prouver le prix d’achat, mais peut être plus avantageuse si vous avez une faible plus-value et que vous pouvez bénéficier des abattements pour durée de détention.

Choisir entre la TMP et la TPV, c’est un peu comme choisir entre un forfait mobile avec data illimitée et un abonnement où on paie à la consommation. Le forfait est simple, mais on peut payer pour de la data qu’on n’utilise pas. L’abonnement à la consommation demande plus de suivi, mais peut être plus économique si on est économe en data.

Impact sur la revente

L’impact de la TMP sur la revente est direct : elle diminue le montant net que vous allez recevoir. Cependant, elle a l’avantage de la simplicité. Pas besoin de se casser la tête avec des calculs compliqués ou de chercher désespérément une vieille facture. Le vendeur prélève directement la taxe, et vous n’avez rien à déclarer aux impôts. C’est un peu le "tout inclus" de la fiscalité sur l’or. C’est important de bien comprendre comment cela fonctionne pour évaluer correctement le rendement de votre investissement et prendre une décision éclairée au moment de la revente.

Prélèvement forfaitaire unique (PFU)

Le prélèvement forfaitaire unique, souvent appelé la flat tax, a été mis en place pour simplifier la fiscalité française. L’idée, c’est de rendre les choses plus claires et moins lourdes à gérer. C’est un taux unique qui s’applique aux gains de placement, sans tenir compte de vos autres revenus.

Définition du PFU

Le PFU, ou prélèvement forfaitaire unique, est un impôt à taux unique sur les revenus de capitaux mobiliers. Il englobe à la fois l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux. C’est une option d’imposition simplifiée, mais il est important de comprendre comment elle fonctionne pour savoir si elle est avantageuse pour vous. Il est entré en vigueur le 1er janvier 2018.

Taux appliqué sur les plus-values

Le taux du PFU est de 30 %. Ce taux se décompose en deux parties distinctes :

  • 12,8 % au titre de l’impôt sur le revenu.
  • 17,2 % au titre des prélèvements sociaux (CSG, CRDS).

Donc, si vous réalisez une plus-value, par exemple lors de la revente d’or, 30 % de ce gain sera prélevé au titre du PFU. C’est un calcul assez simple, mais il faut bien l’avoir en tête.

Comparaison avec d’autres régimes fiscaux

Le PFU n’est pas la seule option possible. Vous pouvez aussi choisir d’être imposé au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Le choix entre les deux dépend de votre situation personnelle et de vos revenus.

Si vous avez des revenus faibles ou si vous bénéficiez de nombreux abattements, l’imposition au barème progressif peut être plus avantageuse. Dans le cas contraire, le PFU peut être plus intéressant, surtout si vous avez des gains importants. Il est important de faire une simulation pour voir ce qui est le plus avantageux pour vous.

En gros, le PFU est une option intéressante pour ceux qui veulent de la simplicité et qui ont des revenus de placement conséquents. Mais il faut bien peser le pour et le contre avant de faire son choix.

Exonérations et abattements

Quand on parle de fiscalité sur la revente d’argent, il est bon de savoir qu’il existe des moyens légaux de réduire, voire d’annuler, l’impôt à payer. C’est là qu’interviennent les exonérations et les abattements. C’est un peu technique, mais ça vaut le coup de s’y pencher pour optimiser votre situation fiscale.

Abattements selon la durée de détention

L’administration fiscale française prévoit un système d’abattement pour durée de détention. Concrètement, plus vous conservez vos biens en argent longtemps, moins vous paierez d’impôts sur la plus-value lors de la revente. C’est un peu comme une récompense pour la patience ! Ce système encourage l’investissement à long terme.

Voici comment ça marche (pour les titres acquis avant le 1er janvier 2018, car après, c’est différent) :

  • Si vous détenez vos titres depuis au moins 2 ans et moins de 8 ans, vous bénéficiez d’un abattement de 50 % sur le montant de la plus-value.
  • Si vous détenez vos titres depuis au moins 8 ans, l’abattement passe à 65 %.

C’est important de noter que ces abattements ne s’appliquent pas si vous optez pour le prélèvement forfaitaire unique (PFU), aussi appelé flat tax. Dans ce cas, le taux est fixe, mais il n’y a pas d’abattement pour durée de détention.

Exonération après 22 ans

C’est le Graal de la détention d’argent : l’exonération totale de la taxe sur la plus-value après 22 ans. Oui, vous avez bien lu, si vous êtes patient et que vous gardez vos lingots ou pièces en argent pendant plus de deux décennies, vous ne paierez aucun impôt sur la plus-value réalisée lors de la vente. C’est un argument de poids pour ceux qui envisagent un investissement sur le très long terme. Imaginez, vous achetez de l’argent aujourd’hui, vous le laissez dormir pendant 22 ans, et à la revente, pas d’impôts ! C’est une stratégie à considérer.

Cas particuliers d’exonération

Il existe aussi des situations spécifiques où vous pouvez être exonéré d’impôt sur la plus-value, même si vous n’avez pas attendu 22 ans. Ces cas sont souvent liés à des événements de la vie.

Par exemple, si vous êtes obligé de vendre votre argent suite à un licenciement, une mise à la retraite anticipée, ou une invalidité (de 2ème ou 3ème catégorie), vous pouvez bénéficier d’une exonération. Il faut bien sûr justifier de ces situations avec les documents appropriés. De même, les travailleurs indépendants peuvent parfois bénéficier d’exonérations en cas de cessation d’activité non salariée suite à un jugement de liquidation judiciaire.

Déclaration des gains et obligations fiscales

Pièces d'euros empilées sur un document fiscal.Pin

Comment déclarer les gains

Alors, comment on fait pour déclarer ces gains quand on revend de l’argent ? C’est pas toujours super clair, je sais. En gros, il faut remplir le formulaire 2092-bis, que vous pouvez trouver sur le site des impôts. Ce formulaire sert à déclarer les plus-values sur biens meubles, ce qui inclut l’argent. Vous devez indiquer le prix de vente, le prix d’achat, et les éventuelles taxes déjà payées. Si vous avez opté pour la taxe sur la plus-value, c’est là que vous indiquez le montant.

Formulaires nécessaires

Pour être sûr de ne rien oublier, voici une petite liste des formulaires qui pourraient vous être utiles :

  • Formulaire 2042 : C’est la déclaration de revenus classique, où vous reporterez le montant de vos plus-values imposables.
  • Formulaire 2092-BIS : Spécifique pour la déclaration des plus-values sur biens meubles (dont l’argent).
  • Justificatifs d’achat et de vente : Gardez précieusement toutes vos factures et relevés de transaction. Ils serviront de preuves en cas de contrôle.

Il est vraiment important de conserver tous les documents relatifs à l’achat et à la vente de votre argent. Cela inclut les factures, les contrats, et tout autre justificatif qui pourrait prouver le prix d’achat et le prix de vente. En cas de contrôle fiscal, ces documents seront indispensables.

Conséquences d’une non-déclaration

Ne pas déclarer ses gains, c’est prendre le risque de se faire redresser par l’administration fiscale. Les conséquences peuvent être assez lourdes :

  1. Intérêts de retard : Des intérêts sont appliqués sur les sommes non déclarées.
  2. Pénalités : En cas de mauvaise foi, des pénalités peuvent s’ajouter aux intérêts.
  3. Contrôle fiscal : Une non-déclaration peut entraîner un contrôle fiscal plus approfondi de votre situation.

Bref, mieux vaut être en règle ! Si vous avez le moindre doute, n’hésitez pas à contacter votre centre des impôts ou un conseiller fiscal. Ils sont là pour vous aider à y voir plus clair et éviter les mauvaises surprises. Et puis, qui sait, peut-être que vous pourrez même bénéficier d’un régime fiscal avantageux !

Vente à l’étranger et fiscalité

Monnaie en argent sur fond flou de billets.Pin

Réglementations sur la vente à l’étranger

Quand on pense à vendre son argent à l’étranger, la première chose qui vient à l’esprit, c’est souvent l’idée d’échapper aux impôts français. C’est une pensée tentante, mais la réalité est un peu plus complexe. Il est essentiel de connaître les réglementations en vigueur avant de prendre une décision. Chaque pays a ses propres règles concernant l’importation et la vente de métaux précieux, et il est important de s’assurer que vous êtes en conformité avec les lois locales. Par exemple, certains pays peuvent exiger des déclarations spécifiques ou appliquer des taxes à l’importation. De plus, il faut tenir compte des frais de transport et d’assurance, qui peuvent impacter la rentabilité de l’opération.

Implications fiscales pour les non-résidents

Si vous êtes non-résident fiscal français, la donne change un peu. En général, les non-résidents sont exonérés des prélèvements sociaux en France. Cependant, l’impôt sur la plus-value peut être retenu à la source par l’établissement français effectuant la vente. Cette retenue peut aller jusqu’à 30% si aucune convention fiscale n’existe entre la France et votre pays de résidence, et même jusqu’à 75% si votre pays de résidence est considéré comme un État non coopératif. Après la vente, vous recevrez le montant net d’impôts, et il vous incombera de déclarer ce gain dans votre pays de résidence. Heureusement, si un accord fiscal existe entre la France et votre pays de résidence, vous pourriez bénéficier d’un crédit d’impôt pour éviter la double imposition. Il est donc crucial de bien se renseigner sur les accords fiscaux internationaux avant de procéder à la vente. N’oubliez pas de consulter le formulaire n°3916-3916 bis si vous détenez des comptes à l’étranger.

Accords fiscaux internationaux

Les accords fiscaux internationaux jouent un rôle crucial dans la détermination de la manière dont vos gains seront imposés lorsque vous vendez de l’argent à l’étranger. Ces accords visent principalement à éviter la double imposition, c’est-à-dire le fait d’être imposé deux fois sur le même revenu, une fois dans le pays où le revenu est généré et une autre fois dans votre pays de résidence. Voici quelques points importants à considérer :

  • Vérification de l’existence d’un accord : Avant toute transaction, assurez-vous qu’un accord fiscal existe entre la France et le pays où vous envisagez de vendre votre argent. Vous pouvez consulter la liste des conventions fiscales sur le site des impôts français.
  • Compréhension des termes de l’accord : Chaque accord est unique et peut contenir des dispositions spécifiques concernant les métaux précieux. Prenez le temps de comprendre comment l’accord affectera votre situation fiscale.
  • Documentation nécessaire : Préparez tous les documents nécessaires pour prouver votre statut de résident fiscal et justifier l’application de l’accord fiscal. Cela peut inclure un certificat de résidence fiscale délivré par les autorités fiscales de votre pays de résidence.

Vendre de l’argent à l’étranger peut sembler une solution simple pour éviter les impôts français, mais il est important de bien peser le pour et le contre. Les réglementations sont complexes et varient d’un pays à l’autre. Une bonne préparation et une connaissance approfondie des accords fiscaux internationaux sont essentielles pour éviter les mauvaises surprises et optimiser votre situation fiscale.

En fin de compte, il est toujours conseillé de consulter un expert fiscal avant de prendre une décision. Un professionnel pourra vous aider à naviguer dans les complexités de la fiscalité internationale et à prendre les meilleures décisions pour votre situation personnelle. N’oubliez pas que la vente d’or d’investissement est soumise à des règles spécifiques.

La vente à l’étranger peut être un bon moyen de gagner de l’argent, mais il faut aussi penser à la fiscalité. Les règles fiscales varient d’un pays à l’autre, et il est important de bien se renseigner. Si vous envisagez de vendre à l’étranger, n’hésitez pas à visiter notre site pour obtenir des conseils utiles et des informations sur la fiscalité. Protégez votre investissement et restez informé !

Conclusion

En résumé, la fiscalité sur la revente d’argent en France peut sembler complexe, mais elle est assez claire une fois que l’on comprend les différentes options. Que ce soit par le biais de la taxe sur les métaux précieux ou de la taxe sur la plus-value, chaque situation a ses propres règles. Il est essentiel de garder à l’esprit les abattements possibles et les exonérations après 22 ans de détention. Si vous envisagez de vendre vos lingots ou pièces, assurez-vous de bien vous renseigner sur les implications fiscales pour éviter les surprises. En fin de compte, une bonne préparation peut vous faire économiser de l’argent et vous permettre de profiter pleinement de votre investissement.

Questions Fréquemment Posées

Qu’est-ce que la plus-value lors de la revente d’argent ?

La plus-value est le bénéfice que vous réalisez lorsque vous vendez un bien pour un prix supérieur à son prix d’achat.

Quels types de taxes s’appliquent à la revente d’argent ?

Il existe principalement deux types de taxes : la taxe sur la plus-value (TPV) et la taxe sur les métaux précieux (TMP).

Comment calcule-t-on la taxe sur la plus-value ?

La TPV est calculée sur le montant de la plus-value, généralement à un taux de 36,2%.

Y a-t-il des exonérations fiscales pour la vente d’argent ?

Oui, après 22 ans de détention, vous pouvez être exonéré de la TPV.

Dois-je déclarer mes gains de vente aux impôts ?

Oui, vous devez déclarer vos gains, même si vous n’avez pas de taxe à payer.

Comment la vente d’argent à l’étranger est-elle imposée ?

Les règles fiscales peuvent varier, mais en général, vous devez déclarer ces gains en France.

Auteur : Rédaction GOLDMARKET
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