Dans un monde financier en constante évolution, savoir comment protéger son capital est primordial. L’article “L’argent dans les portefeuilles défensifs : explication ?” explore les stratégies et les actifs qui permettent de naviguer dans les périodes d’incertitude économique. Nous allons décortiquer pourquoi certains actifs, comme l’or, sont considérés comme des valeurs refuges et comment les intégrer judicieusement dans une approche d’investissement prudente. Que vous soyez un investisseur aguerri ou débutant, comprendre les mécanismes d’un portefeuille défensif est une étape clé pour sécuriser votre avenir financier.
Points Clés à Retenir
- L’or est souvent vu comme un actif de précaution en raison de sa rareté, de son histoire comme réserve de valeur et de sa faible inflation.
- Comprendre le cours de l’or implique de connaître les bourses de référence, le processus de fixing et de suivre son évolution en temps réel.
- Investir dans l’or peut se faire via des lingots ou des pièces d’investissement, chacun ayant ses spécificités en termes de transaction et de fiscalité.
- La stratégie d’investissement en haltère combine des actifs très sûrs avec des actifs spéculatifs pour limiter les pertes tout en offrant un potentiel de gain.
- La gestion du risque dans un portefeuille défensif passe par la protection du capital, l’utilisation de stratégies de couverture (hedging) et l’évitement des investissements moyennement risqués.
Pourquoi l’or est-il considéré comme un actif de précaution ?
On entend souvent dire que l’or est un actif de précaution, mais qu’est-ce que cela signifie concrètement ? En gros, quand les choses vont mal sur les marchés financiers, que ce soit à cause d’une crise économique, d’une instabilité politique ou d’une forte inflation, les investisseurs ont tendance à se tourner vers l’or. C’est un peu comme chercher un abri sûr quand il y a une tempête.
La nature de l’or comme valeur refuge
L’or est considéré comme une valeur refuge parce qu’il a traversé les âges sans perdre sa valeur intrinsèque. Contrairement aux monnaies qui peuvent être dévaluées par les politiques des banques centrales, la quantité d’or physique qui peut être mise sur le marché est limitée par ce qui peut être extrait. Cette rareté relative aide à maintenir sa valeur, surtout en période d’incertitude. Il ne produit pas de revenus comme les actions ou les obligations, mais sa stabilité perçue en fait un choix populaire quand les autres actifs sont trop risqués. C’est un peu le principe de se dire que même si tout le reste s’effondre, l’or conservera une certaine valeur.
La rareté de l’or physique
La rareté de l’or est un facteur clé de sa perception comme actif de précaution. L’extraction de l’or est un processus coûteux et long. Les quantités d’or nouvellement découvertes et mises sur le marché chaque année sont relativement faibles par rapport à la quantité totale déjà existante. Cette offre limitée, qui ne peut pas augmenter rapidement pour répondre à une demande soudaine, contribue à sa stabilité de valeur. C’est un peu comme une ressource naturelle qui ne peut pas être produite à volonté, ce qui lui confère une certaine solidité.
L’inflation limitée de l’or
L’or est souvent vu comme une protection contre l’inflation. Quand le pouvoir d’achat des monnaies diminue à cause de l’inflation, le prix de l’or a tendance à augmenter. Cela s’explique par le fait que l’offre d’or est limitée et ne suit pas la même courbe que la création monétaire. En d’autres termes, alors que les banques centrales peuvent imprimer plus d’argent, elles ne peuvent pas
Comprendre le cours de l’or
Le cours de l’or, c’est un peu comme le pouls de l’économie mondiale, toujours en mouvement. Pour bien le comprendre, il faut savoir où et comment il est coté. Londres reste le cœur battant du négoce des métaux précieux physiques. Mais ce n’est pas le seul endroit où ça bouge. D’autres places comme New York, Zurich ou Hong Kong jouent aussi leur rôle. Il existe en gros deux façons de suivre ce cours : le fixing et le temps réel.
Le fixing, c’est une sorte de rendez-vous quotidien. Deux fois par jour, à Londres, la London Bullion Market Association (LBMA) réunit les acteurs du marché. Ils confrontent les offres et les demandes pour fixer un prix de référence. C’est un peu comme une enchère organisée pour trouver le juste prix à un moment donné. Si les quantités à vendre et à acheter ne correspondent pas, le prix est ajusté jusqu’à ce que l’équilibre soit trouvé. C’est un système qui donne une image claire de l’offre et de la demande à un instant T.
Les bourses de référence pour le cours de l’or
Plusieurs grandes villes sont des centres névralgiques pour la cotation de l’or. Londres est souvent citée comme la référence principale, car c’est là que se concentre une grande partie du commerce physique des métaux précieux. D’autres places importantes incluent New York, Zurich et Hong Kong, chacune contribuant à la formation du prix mondial.
Le fixing de l’or : une procédure de cotation
Le fixing est une méthode de détermination du prix de l’or qui se déroule généralement deux fois par jour. Des participants majeurs du marché, comme des banques et des fonds d’investissement, se réunissent pour échanger leurs intentions d’achat et de vente. Le prix est ajusté jusqu’à ce que l’offre et la demande s’équilibrent, créant ainsi un cours de référence. La LBMA à Londres est l’organisme le plus connu pour ce processus, fixant le prix à 10h30 et 15h, heure de Greenwich, du lundi au vendredi.
Le cours de l’or en temps réel
En dehors des fixings, il existe aussi un cours de l’or en temps réel. Celui-ci est disponible quasiment 24h sur 24, du dimanche soir au vendredi soir. Il reflète les transactions qui se font en continu sur les marchés, offrant une vision plus dynamique des fluctuations du prix. Ce cours est exprimé en once d’or (environ 31,1 grammes) et généralement en dollars américains. C’est une donnée utile pour ceux qui suivent les marchés de près et qui veulent réagir rapidement aux changements.
Investir dans l’or : lingots et pièces
Quand on parle d’investir dans l’or, on pense souvent aux lingots et aux pièces. C’est vrai que ce sont les formes les plus directes pour posséder physiquement ce métal précieux. Mais il y a des différences importantes entre les deux, et il faut bien comprendre ce qu’on achète.
Les différents types de lingots d’or
Les lingots d’or, c’est un peu le grand classique. Ils existent dans toutes sortes de tailles, des plus petits de 1 gramme aux gros lingots de 1 kilogramme, voire plus. Ce qui compte surtout pour un lingot, c’est sa pureté, généralement de 999,9 millièmes (c’est-à-dire 24 carats). Quand vous achetez un lingot, il est souvent accompagné d’un certificat d’authenticité qui garantit son poids et sa pureté. C’est un peu comme un passeport pour votre or. Le prix d’un lingot dépend directement de son poids et du cours actuel de l’or. Il faut savoir que les lingots plus petits ont un prix au gramme un peu plus élevé que les gros lingots, à cause des coûts de fabrication et de certification.
Les pièces d’investissement en or
Les pièces d’or, c’est une autre histoire. Elles ont une valeur faciale, mais leur prix est surtout déterminé par leur poids en or et le cours du marché. Il y a des pièces très connues, comme le Napoléon français, le Krugerrand sud-africain, ou encore le Maple Leaf canadien. Ces pièces ont souvent une histoire, une certaine rareté qui peut ajouter une prime à leur valeur. Contrairement aux lingots qui sont plutôt uniformes, les pièces peuvent varier en termes de pureté et de poids. Il faut donc bien se renseigner sur la pièce que l’on achète. Par exemple, certaines pièces sont en or pur, d’autres sont alliées avec d’autres métaux pour les rendre plus résistantes, ce qui affecte leur pureté. L’avantage des pièces, c’est qu’elles sont souvent plus faciles à revendre en petites quantités, et leur valeur numismatique peut parfois dépasser la simple valeur de l’or qu’elles contiennent.
La vente d’or : comment ça fonctionne
Quand vient le moment de vendre votre or, que ce soit des lingots ou des pièces, le processus est assez simple en général. Vous pouvez vous adresser à des professionnels spécialisés, comme des comptoirs d’achat d’or ou des courtiers. Ils vont examiner votre or, vérifier son poids et sa pureté, et vous proposer un prix basé sur le cours du jour. Il est important de comparer les offres de plusieurs acheteurs pour obtenir le meilleur prix. N’oubliez pas que la vente d’or peut être soumise à une taxation sur la plus-value, selon la législation en vigueur dans votre pays. Il est toujours bon de se renseigner sur les aspects fiscaux avant de vendre. Pour une transaction sécurisée, privilégiez les professionnels reconnus qui vous remettront un certificat de vente détaillé. Si vous cherchez à vendre vos pièces d’or, assurez-vous de bien connaître leur valeur intrinsèque et potentielle numismatique pour ne pas vous faire avoir. Il est possible de acheter des pièces d’or en ligne auprès de revendeurs spécialisés.
La stratégie d’investissement en haltère pour un portefeuille défensif
Vous avez peut-être entendu parler de la stratégie d’investissement dite « en haltère », ou « Barbell Strategy ». L’idée vient de Nassim Taleb, un auteur et ancien trader. En gros, ça consiste à mettre la majeure partie de votre argent dans des placements super sûrs, et le reste dans des choses un peu plus risquées, mais avec un gros potentiel de gain. On évite ainsi le milieu, là où les rendements sont souvent moyens et le risque quand même présent.
Définition de la stratégie Barbell
L’approche en haltère, c’est un peu comme tenir une vraie haltère : deux poids lourds aux extrémités et rien au milieu. Pour un portefeuille, ça veut dire 85% à 90% dans des actifs très sûrs, comme des obligations d’État ou des fonds monétaires. Le reste, soit 10% à 15%, est placé dans des actifs plus volatils, comme des actions de petites entreprises, du capital-risque, ou même des marchés émergents. L’objectif est de limiter les pertes potentielles tout en gardant une porte ouverte aux gains importants. C’est une façon de gérer le risque en se concentrant sur les deux extrêmes, plutôt que de chercher un équilibre qui peut s’avérer décevant.
Allocation des actifs dans une stratégie Barbell
Dans une stratégie en haltère, l’allocation est assez tranchée. Vous avez d’un côté les actifs défensifs, qui forment la masse principale de votre portefeuille. On parle ici de placements qui ont fait leurs preuves pour préserver le capital, comme les obligations de haute qualité ou l’or physique pour la préservation du capital. Ces actifs sont là pour vous protéger en cas de coup dur sur les marchés. De l’autre côté, vous avez les actifs de croissance, qui représentent une petite partie mais sont choisis pour leur potentiel de forte performance. Il peut s’agir d’actions de secteurs innovants, de fonds spéculatifs ou d’autres investissements plus exotiques. L’idée est que même si cette petite partie échoue, la grande majorité sécurisée maintient le portefeuille à flot.
Performance en période de volatilité élevée
Historiquement, la stratégie en haltère a montré sa solidité lors des périodes de forte turbulence sur les marchés. Par exemple, lors de la crise financière de 2008, alors que les marchés actions ont chuté de plus de 40%, un portefeuille suivant cette approche n’a perdu qu’environ 14%. C’est parce que la majeure partie du portefeuille, bien protégée, a limité les dégâts. Bien sûr, ce n’est pas une formule magique et il y a eu des années où même les actifs défensifs n’ont pas joué leur rôle habituel, comme en 2022 avec la hausse de l’inflation. Mais sur le long terme, cette approche a tendance à mieux résister aux chocs que les portefeuilles plus traditionnellement équilibrés, qui se retrouvent souvent pris dans le « milieu ennuyeux » sans vraiment profiter des extrêmes.
Gérer le risque dans un portefeuille défensif
Gérer le risque dans un portefeuille défensif, c’est un peu comme faire de la haute voltige sans filet, mais avec une bonne assurance quand même. L’idée principale, c’est de se protéger contre les mauvaises surprises, celles qui peuvent faire mal au portefeuille. On ne cherche pas à faire des coups d’éclat, mais plutôt à dormir sur ses deux oreilles, même quand les marchés s’affolent.
Protéger son capital contre la baisse
Quand on parle de portefeuille défensif, la première chose qui vient à l’esprit, c’est la protection du capital. On veut éviter de perdre ce qu’on a mis. Ça veut dire qu’on va privilégier des placements qui bougent moins, qui sont moins sensibles aux secousses du marché. Pensez aux obligations d’État de pays solides, ou à certains fonds monétaires. Ces actifs sont là pour faire tampon quand tout le reste flanche. C’est un peu comme avoir une armure.
L’importance du ‘hedging’ dans une stratégie défensive
Le ‘hedging’, ou la couverture, c’est une technique qui permet de limiter les pertes potentielles. Imaginez que vous avez un portefeuille majoritairement investi en actions. Si le marché baisse, vous perdez de l’argent. Le hedging, c’est comme prendre une assurance : vous achetez un autre produit financier qui va, lui, prendre de la valeur si le marché baisse. Ça peut être des options de vente, ou des produits dérivés spécifiques. C’est une façon de dire : "Ok, si ça tombe, j’ai prévu le coup". C’est une stratégie qui demande un peu plus de savoir-faire, mais qui peut vraiment sauver la mise dans les périodes difficiles. Par exemple, avoir une petite position sur des actifs qui montent quand le marché baisse peut faire une différence notable. L’or agit comme valeur refuge quand la bourse s’agite, c’est un exemple classique de ce type de couverture naturelle.
Éviter le ‘boring middle’ dans la gestion de portefeuille
Le "boring middle", c’est cette zone grise où les investissements ne sont ni vraiment sûrs, ni vraiment dynamiques. Ce sont souvent des fonds équilibrés classiques, ou des actions de sociétés qui sont là, mais sans grand potentiel de croissance ni de risque énorme. Le problème, c’est qu’ils vous exposent quand même à un certain risque, mais sans vous offrir le potentiel de gain des placements plus audacieux. Dans une stratégie défensive, on préfère souvent éviter cette zone. On va plutôt se concentrer sur deux extrêmes : d’un côté, des placements très sûrs pour la majeure partie du portefeuille, et de l’autre, une petite partie plus risquée, mais avec un potentiel de gain élevé. C’est un peu le principe de la stratégie "haltère" : beaucoup de sécurité, et une petite touche de dynamisme, mais on évite le milieu qui ne fait ni l’un ni l’autre.
L’or et les ETFs : une combinaison pour la diversification
Qu’est-ce qu’un ETF ?
Un ETF, ou fonds négocié en bourse, c’est un peu comme un panier d’actions ou d’obligations. Au lieu d’acheter une seule action, vous achetez une part de ce panier qui peut contenir des dizaines, voire des milliers de titres différents. C’est une façon super pratique de diversifier votre portefeuille sans avoir à gérer chaque titre individuellement. La plupart des ETF sont conçus pour suivre un indice boursier spécifique, comme le S&P 500 par exemple. On les appelle aussi des "trackers" parce qu’ils suivent la performance de leur indice de référence. C’est une approche d’investissement qu’on appelle "gestion passive" ou "investissement indiciel". L’idée, c’est d’acheter et de garder ces investissements sur le long terme, sans trop se soucier des fluctuations quotidiennes. Les données montrent que cette stratégie a tendance à donner de bons résultats sur la durée.
Les ETFs indiciels et la gestion passive
L’investissement indiciel, c’est une stratégie qui vise à répliquer la performance d’un indice boursier plutôt que d’essayer de le battre. C’est ce qu’on appelle la gestion passive. Les ETF sont parfaits pour ça. Ils sont peu coûteux à gérer parce qu’ils n’ont pas besoin d’une équipe d’analystes pour choisir les actions. Il suffit de suivre l’indice. C’est aussi un moyen d’être très diversifié. En investissant dans un ETF qui suit un indice mondial, par exemple, vous êtes exposé à des centaines, voire des milliers d’entreprises dans différents pays et secteurs. Ça permet de réduire les risques inutiles. En gros, vous profitez de la croissance des meilleures entreprises du monde, sans avoir à les identifier vous-même. C’est une approche qui a fait ses preuves pour faire fructifier son patrimoine sur le long terme.
L’or comme sous-jacent d’un ETF
On peut aussi trouver des ETF dont le sous-jacent est l’or. Ces fonds fonctionnent en suivant le prix de l’or. Ils peuvent détenir de l’or physique ou des contrats à terme sur l’or. C’est une manière simple et liquide d’avoir une exposition à l’or sans avoir à acheter et stocker le métal précieux soi-même. C’est un peu comme acheter des actions, mais pour l’or. Ça permet de diversifier facilement son portefeuille, surtout dans les périodes d’incertitude économique. L’or est souvent vu comme une valeur refuge, et un ETF sur l’or permet d’intégrer cette protection dans une stratégie d’investissement plus large, tout en bénéficiant de la simplicité et de la liquidité des ETF. C’est une combinaison intéressante pour ceux qui cherchent à équilibrer risque et rendement dans leur portefeuille défensif. Vous pouvez acheter et vendre ces ETF assez facilement, ce qui est un avantage par rapport à la détention directe d’or physique, qui peut être moins liquide. C’est une façon moderne d’accéder à l’or, en profitant des avantages des fonds négociés en bourse.
L’or et les ETFs, c’est comme mettre de l’argent dans différentes boîtes pour être plus sûr. Ça aide à ne pas tout perdre si une boîte tombe. C’est une bonne idée pour que ton argent soit plus en sécurité. Tu veux en savoir plus sur comment bien placer ton argent ?
Pour conclure sur les portefeuilles défensifs
Voilà, on a fait le tour de ce que signifie avoir un portefeuille défensif. En gros, c’est comme mettre de côté les choses les plus fragiles quand on sait qu’il y a du vent. On privilégie la sécurité, on évite les gros risques, et on cherche surtout à garder ce qu’on a déjà. Ça veut dire que l’or, les obligations solides, ou des actions d’entreprises qui tiennent bien la route, ça peut avoir sa place. Ce n’est pas forcément le plus excitant, mais quand les choses deviennent un peu floues dehors, avoir un peu de calme dans ses finances, ça n’a pas de prix. C’est une façon de dormir un peu plus tranquille, même si ça ne fait pas gagner des millions du jour au lendemain.
Questions Fréquemment Posées
Pourquoi l’or est-il vu comme un refuge pour l’argent ?
L’or est considéré comme une valeur sûre car sa quantité est limitée par ce qui peut être extrait. Contrairement aux monnaies, dont la quantité peut augmenter avec les décisions des banques centrales, l’or ne peut pas être créé à volonté. C’est pourquoi il garde sa valeur, même quand les prix d’autres choses augmentent (inflation).
Comment est établi le prix de l’or et où peut-on le suivre ?
Le prix de l’or est fixé sur des marchés mondiaux, notamment à Londres, qui est le centre principal pour le commerce des métaux précieux. Il existe deux façons de suivre son prix : le ‘fixing’, qui est un prix déterminé deux fois par jour en confrontant l’offre et la demande, et le prix en temps réel, disponible toute la journée.
Quelles sont les formes les plus courantes pour investir dans l’or ?
On peut investir dans l’or sous forme de lingots, qui sont de gros blocs d’or pur, ou de pièces d’investissement. Ces pièces, comme le Napoléon ou le Krugerrand, ont une valeur basée sur leur poids en or et sont souvent plus faciles à acheter et à vendre en petites quantités.
Qu’est-ce que la stratégie d’investissement ‘Barbell’ et comment fonctionne-t-elle ?
La stratégie ‘Barbell’ consiste à placer la majorité de son argent (environ 85-90%) dans des placements très sûrs, comme des obligations d’État. Le reste (10-15%) est investi dans des choses plus risquées mais avec un fort potentiel de gain, comme des actions de petites entreprises ou des cryptomonnaies. L’idée est de se protéger contre les grosses pertes tout en gardant une chance de faire de gros profits.
Comment protéger son argent dans un portefeuille défensif ?
Pour protéger son argent, il est crucial d’éviter de perdre son capital. Cela peut se faire en ayant une grande partie de ses investissements dans des choses très sûres. Le ‘hedging’ est une autre technique : c’est comme prendre une assurance pour son portefeuille. Si le marché baisse, cette ‘assurance’ prend de la valeur, compensant ainsi les pertes.
Comment l’or peut-il être combiné avec les ETFs pour diversifier son épargne ?
Un ETF (Exchange Traded Fund) est un fonds qui suit un indice boursier, comme le CAC 40. En investissant dans un ETF basé sur l’or, on peut profiter des variations du prix de l’or sans avoir à acheter physiquement le métal. C’est une façon simple et efficace de diversifier son portefeuille.
